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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 11:47

Et voilà déjà quelque 9 livres qui rejoignent ma PAL avant d'être bientôt rattrapés pas une ribambelle de livres de poche ... dont ma mère me laisse le choix !! ^^


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Le symbole perdu / de Dan Brown (initiative de ma petite maman pour remplacer la nostalgie de l'ange, indisponible)

Washington, la franc-maçonnerie, des sociétés mystérieuses et de nombreux secrets à décoder.



Guide de l'incendiaire des maisons d'écrivains en Nouvelle-Angleterre / de Brock Clarke
« Moi, Sam Pulsifer, je suis l’homme qui a accidentellement réduit en cendres la maison d’Emily Dickinson à Amherst, Massachussetts, et qui ce faisant, a tué deux personnes, crime pour lequel j’ai passé dix ans en prison. Il suffira sans doute de dire que parmi les grandes et sinistres tragédies qui ont frappé le Massachussetts il y a les Kennedy, les sorcières de Salem, et puis il y a moi. »

Dans ce roman brillant et jubilatoire, Brock Clarke réussit, avec un sens de l’humour déroutant, un véritable tour de force littéraire, hommage aux plus grands écrivains américains.



Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates / de Mary Ann Shaffer & Annie Barrows
Aussi fantasque que son titre, et drôle, tendre, incroyablement attachant : voici un premier roman comme on n'en a pas lu depuis longtemps, qu'on a hâte de se passer de main en main.

Je me demande comment cet ouvrage est arrivé à Guernesey ? Peut-être les livres possèdent-ils un instinct de préservation secret qui les guide jusqu'à leur lecteur idéal...
Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une tourte aux épluchures de patates...) – délices bien évidemment strictement prohibés par l'occupant. Jamais à court d'imagination, le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates déborde de charme, de drôlerie, de tendresse, d'humanité – Juliet est conquise. Peu à peu, elle élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle – et même d'autres habitants de Guernesey –, découvrant l'histoire de l'île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l'impact de l'Occupation allemande sur leurs vies... Jusqu'au jour où elle comprend qu'elle tient avec le Cercle le sujet de son prochain roman. Alors elle répond à l'invitation chaleureuse de ses nouveaux amis et se rend à Guernesey. Ce qu'elle va trouver là-bas changera sa vie à jamais.



L.A. Strory / de James Frey
Quatre histoires d’aujourd’hui, quatre destins disent chacun à leur façon le roman de Los Angeles, ville des âmes perdues, où se rendent ceux qui ont tout quitté dans l’espoir d’y trouver une vie meilleure. Ville cruelle, où règnent vice, cynisme et superficialité mais où la certitude viscérale que tout est possible l’emporte malgré tout.



Le livre des nuages / de Chloe Aridjis
« Les lourdes mâchoires, le grand front, les yeux de braise enfoncés dans leur orbite, tout semblait horriblement familier et j’avais l’impression d’avoir déjà vu ce visage, mais en noir et blanc. Comme elle était juste devant moi, j’étais bien placée pour l’observer, et plus je la regardais, plus j’étais certaine que c’était… oui, que c’était Hitler, Hitler en vieille femme. C’est Hitler, me disais-je, il n’y a aucun doute que c’est Hitler. La vieille femme avait la même forme de visage, les mêmes yeux noirs et le même haut front, et, à mieux regarder, même un petit carré un peu plus sombre là où la moustache aurait pu se trouver. Je ne pouvais en détacher mes yeux, pétrifiée, horrifiée, stupéfaite parce que je voyais. » A Berlin, dernière étape d’un voyage en Europe qu’elle a entrepris avec sa famille, Tatiana, quatorze ans, manque de succomber à une crise cardiaque. Comment se peut-il que, quarante ans après la guerre, elle se retrouve face à face avec le démon lui-même, celui dont le seul nom jette une ombre sur presque chaque paysage de sa jeune existence ? Lorsqu’elle retourne, alors étudiante, dans cette ville hantée par le passé, les fruits de son imagination se font plus précis et détaillés. Obnubilée par la guerre, elle croise de nouveaux fantômes. Vingt ans plus tard, les démons qu’elle avait vus dans le métro sont toujours là, dans une autre dimension.



Personne / de Gwenaëlle Aubry
Je ne sais pas quand je me suis dit pour la première fois «mon père est fou», quand j'ai adopté ce mot de folie, ce mot emphatique, vague, inquiétant et légèrement exaltant, qui ne nommait rien, en fait, rien d'autre que mon angoisse, cette terreur infantile, cette panique où je basculais avec lui et que toute ma vie d'adulte s'employait à recouvrir, un appel de lui et tout cela, le jardin, le soir d'été, la mer proche, volait en éclats, me laissant seule avec lui dans ce monde morcelé et muet qui était peut-être le réel même.

Personne est le portrait, en vingt-six angles et au centre absent, en vingt-six autres et au moi échappé, d'un mélancolique. Lettre après lettre, ce roman-abécédaire recompose la figure d'un disparu qui, de son vivant déjà, était étranger au monde et à lui-même. De «A» comme «Antonin Artaud» à «Z» comme «Zelig» en passant par «B» comme «Bond (James Bond)» ou «S» comme «SDF», défilent les doubles qu'il abritait, les rôles dans lesquels il se projetait. Personne, comme le nom de l'absence, personne comme l'identité d'un homme qui, pour n'avoir jamais fait bloc avec lui-même, a laissé place à tous les autres en lui, personne comme le masque, aussi, persona, que portent les vivants quand ils prêtent voix aux morts et la littérature quand elle prend le visage de la folie.



Un roman français / de Frédéric Beigbeder
                            Prix renaudot 2009
L'idée de ce livre m'est venue le 20 janvier 2008, quand j'étais en garde à vue au commissariat du 8ème arrondissement de Paris. Pour oublier ma claustrophobie, je me suis réfugié dans le pays perdu de mon enfance. Je croyais avoir tout oublié, et puis…petit à petit, un monde m'est apparu. Je suis le fils d'une aristocrate limousine et d'un riche héritier américano-béarnais; mon enfance fut marquée par leur divorce en 1972. Mon paradis c'est la plage de Cénitz à Guethary, le parc de la Villa Navarre à Pau, la colline du château de Vaugoubert à Quinsac, les reflets verts des avenues de Neuilly et des allées du Bois de Boulogne : c'est un monde révolu. La France dans laquelle j'ai grandi n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui, je la décris sans nostalgie, comme une contrée imaginaire, comme si mon passé était une fiction. Il m'a semblé redécouvrir quelque chose ou quelqu'un, une époque, une famille, un pays, mais je peux me tromper, je n'ai pas le recul nécessaire.
Après avoir écrit un roman qui se passait en Amérique et un autre qui se déroulait en Russie, je voulais sans doute rentrer chez moi ; c'est souvent le cas des gens qui sont enfermés dans une cellule.
Bizarrement, depuis vingt ans que je publie des livres, je n'avais jamais parlé de mon passé. J'attendais peut-être, pour écrire " Un roman français", de ne plus pouvoir faire autrement. Ou alors c'est plus grave : mon utopie est derrière moi."



Si je reste / de Gayle Forman
Mia a 17 ans, un petit ami que toutes ses copines lui envient, des parents un peu excentriques mais sympas, un petit frère craquant, et la musique occupe le reste de sa vie. Et puis...
Et puis vient l'accident de voiture. Désormais seule au monde, Mia a sombré dans un profond coma. Où elle découvre deux choses stupéfiantes : d'abord, elle entend tout ce qu'on dit autour de son lit d'hôpital. Ensuite, elle a une journée seulement pour choisir entre vivre et mourir. C'est à elle de décider. Un choix terrible quand on a 17 ans.
Si je reste est une merveilleuse histoire d'amour, mais aussi un livre qui nous fait réfléchir à l'essentiel , à la place de l'amour et du bonheur, à tous ces liens avec nos proches auxquels on s'habitue et qui sont pourtant le vrai trésor de nos vies.



Ce que je sais de Vera Candida / de Véronique Ovaldé
Quelque part en Amérique du Sud, dans l’île de Vatapuna ou à Lahomeria, trois femmes d’une même lignée semblent prédestinées à connaître le même sort : mettre au monde une petite fille et être forcée de taire à jamais le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Ce sont des femmes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, des femmes téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Chacune à sa manière se bat pour faire honneur à ce qu’elles sont : des mères affranchies, bien décidées à se choisir ellesmêmes leur destin.

 


 

 

 

 


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